Compensation carbone, plantation 2020

Publié le par Al lark

Un travail d’équipe ! 
Lors de deux sessions en 2020, les adhérents de l’association AL LARK ont planté 250 arbres au total. L’association COEUR Émeraude nous a aidé dans cette démarche en trouvant  la parcelle et en choisissant les essences qui correspondant au mieux à cet emplacement. 

Un grand merci aux bénévoles et à Sylvain de CŒUR émeraude pour ces journées.

Pourquoi plantons-nous des arbres ? 

Lorsque  nos adhérents  partent étudier la vie marine, les bateaux à moteur utilisés émettent du dioxyde de carbone (CO2). Ces sorties en mer sont essentielles pour sensibiliser au milieu marin et à la protection de l’environnement. 

En attendant l’électrique, nous continuons malheureusement à consommer de l’énergie fossile.  
Ces arbres sont alors plantés pour compenser nos émissions de CO2. Grâce à cela, nous  réduisons notre bilan carbone et nous participons également  à la restauration du bocage en créant des environnements diversifiés pour la biodiversité. Nous luttons ainsi contre le réchauffement climatique ! 

Une nouvelle date de plantation sera  bientôt révélée.

Alors, que vous soyez vieille branche ou jeune pousse, venez nous aider !

La minute culture science : 
Le bilan carbone : c’est une équation qui rassemble les flux (émission/ réception) carbone d’une personne ou d’une structure. Le but de ce bilan est de viser la neutralité, afin de ne pas émettre plus de gaz à effet de serre et d'éviter de participer au réchauffement climatique. Pour cela, il faut capter du CO2 dans l’atmosphère grâce aux végétaux. C’est ce qu’on appelle COMPENSER.

Le rôle des arbres dans le cycle du carbone : le CO2 est essentiel dans le fonctionnement des plantes. Il se trouve naturellement dans l’atmosphère (c’est notre rajout qui est problématique). Ce CO2 est un élément essentiel dans le processus de la PHOTOSYNTHESE. Première étape : la plante absorbe de l’eau par les racines, ainsi que du CO2  par les feuilles. Deuxième étape : la plante absorbe l’énergie solaire avec des cellules spécialisées (Chloroplastes). Troisième étape : elle se sert de l’énergie solaire pour créer des sucres à partir de l’eau et du CO2 absorbés et rejette de l’oxygène (O2) et de l’eau (elle transpire, comme les bénévoles pendant la plantation).

Une relation gagnant-gagnant : on les plante, on les bichonne et ils nous débarrassent du CO2 que l’on génère.

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